18 janvier 2013

Le Fléau - Stephen King





Auteur : Stephen King

Traducteur : Jean-Pierre Quijano

Illustrateur : Bernie Wrightson

Maison d'Edition : France Loisirs d'après JC Lattès

Parution : 1992

Pages : 1183






Le Pitch


Il a suffi que l'ordinateur d'un laboratoire ultra-secret de l'armée américaine fasse une erreur d'une nanoseconde pour que la chaîne de la mort se mette en marche. Le Fléau, inexorablement, se répand sur l'Amérique et, de New York à Los Angeles, transforme un bel été en cauchemar. Avec un taux de contamination de 99,4 %.

Dans ce monde d'apocalypse émerge alors une poignée de survivants hallucinés. Ils ne se connaissent pas, pourtant chacun veut rejoindre celle que, dans leurs rêves, ils appellent Mère Abigaël : une vieille Noire de cent huit ans dont dépend leur salut commun. Mais ils savent aussi que sur cette terre dévastée rôde l'Homme sans visage, l'Homme Noir aux étranges pouvoirs, Randall Flagg. L'incarnation des fantasmes les plus diaboliques, destinée à régner sur ce monde nouveau.

C'est la fin des Temps, et le dernier combat entre le Bien et le Mal peut commencer.




Mon Avis


Même si la fin m'a laissé sur ma faim, je ne juge pas un livre sur ses toutes dernières pages mais sur son ensemble, et je peux dire que cet ensemble à été grandiose comme d'habitude avec Stephen King.

Si vous me demandiez dans quel genre classer le Fléau, je ne pourrais le faire parcequ'il tient de la dystopie, de l'anticipation, de la sociologie et d'une part savamment dosée de fantastique. Stephen King maîtrise parfaitement son récit et mieux encore ses personnages. Et je peux affirmer que l'auteur qui parvient le mieux à rendre ses personnages vivants sur tous les auteurs que j'ai lu, c'est lui. Je suis sans doute de partit pris puisque c'est vraiment l'écrivain que j'admire le plus mais je reste objective et le plus beau compliment que je puisse lui faire c'est que lorsque j'ouvre un de ces livres, j'oublie l'auteur. L'histoire m'embarque.

C'est ce qu'il s'est passé une fois de plus avec "Le Fléau", par exemple il m'arrivait de reprendre ma lecture à la page 490 et de me retrouver à la page 600 sans m'en rendre compte. Et c'est ce que j'attend d'un auteur ; qu'il me fasse oublier que je lis une histoire. 

Je ne vais pas m'étendre trop ou beaucoup plus avant sur ce qu'il se passe dans le livre parce-que honnêtement le synopsis le fait parfaitement et que rentrer dans les détails serait du spoil, ce que je tente de vous éviter un maximum, surtout que moi-même je n'aime pas le spoil indésiré. Alors j'espère juste que ces quelques lignes vous auront donné envie de lire ce livre et que vous m'en donnerez des nouvelles si vous le faites.

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